Tombe 9 : Chapelle funéraire Famille Desgenétais

LA FAMILLE DESGENÉTAIS ET LA COMMUNE

Dans la Vallée d’Or, les familles de grands industriels sont nombreuses, à l’instar de la famille Pouchet, dont il reste à Gruchet-le-Valasse le cimetière privé. Beaucoup de ces familles sont protestantes, le culte protestant prônant l’éducation par sa pratique, contrairement au catholicisme. À Gruchet-le-Valasse, une famille catholique fait concurrence aux industriels protestants : les Desgenétais. Aujourd’hui, il subsiste bien des bâtisses qui autrefois leur appartenaient, dont l’église et le château des Genêts.

Des industriels catholiques du Pays de Caux

a)     L’origine de la fortune.

La famille Desgenétais est une famille dont les origines sont rurales. Elle trouve sa notabilité et sa fortune dans l’industrie.  En effet, ils sont cultivateurs, mais après l’association des frères Desgenétais avec leur oncle Philippe Jacques Lechevalier dans son usine de tissage mécanique à Lillebonne.

Jean (né le 9 juillet 1810[1]), François et Auguste[2] ouvrent leur propre usine à Gruchet-le-Valasse : Desgenétais Frères. Les trois frères succèdent à leur oncle en 1843, qui décède le 17 février à Bolbec. Bientôt, les deux activités fusionnent et s’agrandissent.

En 1845, Jean et Auguste Desgenétais créent un second tissage mécanique à Bolbec dans une propriété loué à Pierre Fouquet, là où existait l’indiennerie Lemaitre, situé le long du cours d’eau le Bolbec et de l’actuelle rue Auguste Desgenétais (Gruchet-le-Valasse). Ce tissage créé par les deux frères fermera autour de 1870.

Ils ouvrent un troisième tissage à Bolbec en 1853, située Vallée Fontaine. Une filature de coton mue par une machine à vapeur.

b)     Les frères Desgenétais : une lignée compromise.

Avec l’évolution des métiers à tisser, qui fonctionnent désormais à vapeur, les frères font fortune. La population de la ville de Bolbec augmente de façon significative grâce aux nombreuses industries qui s’implantent.

En 1862, c’est à Lillebonne qu’ils créent un nouveau tissage, qui connait le même succès que les précédents. Cette même année, Léon François Desgenétais décède à Bolbec le 21 février[3]. Il est indiqué comme profession : filateur, alors que Auguste Desgenétais, son frère qui est l’un des déclarants du décès est « manufacturier ». Léon François Desgenétais laisse un fils unique : Léon, fruit de son mariage avec Irma Léonie Lamy.

L’aîné de la fratrie Jean Antoine Desgenétais décède le 25 avril 1864 à Lillebonne[4]. Il a 53 ans et est manufacturier, marié à Félicie Claire Cahours depuis le 26 juillet 1853 (union contractée à Bolbec). Ils ont un seul héritier connu René Desgenétais.

Après la mort de ses deux frères, Henri Auguste Desgenétais assure seul la direction des nombreux établissements.

Les Desgenétais : un bastion catholique dans la région

a)     Les châteaux : achetés et acquis

La réussite économique de la famille se traduit dans l’immobilier. Auguste Desgenétais fait construire le château des Genêts en 1865 à Gruchet-le-Valasse.

Château des Genêts, photographie format carte postale, sans date.

En 1878, il acquiert le château d’Etelan dans lequel vivront sa petite fille Louise Anne Marguerite Desgenétais, et son époux Gaston comte de Castelbajac.

Marguerite Desgenétais en robe de mariée dans Château de Gruchet, auteur inconnu.

En 1880, Henri Auguste Desgenétais acquiert le château du « Vieux Gruchet » ou le « Vieux Château ».

Le Vieux Château ou Château de Gruchet, photographie format carte postale, sans date.

On compte le château de Tous-Vents comme une propriété par alliance de la famille Desgenétais.  En effet, en 1875 le baron André Piérard fait reconstruire le château de Tous Vents, incendié par les Prussiens lors de la dernière guerre en janvier 1871. Il y habitera à partir de 1883 avec son épouse Marie Emika Jeanne Inès Desgenétais et leurs enfants.

Château de Tous Vent, photographie, sans date.

b)     Actions en faveur de l’enseignement catholique.

Dans cette région industrielle où les grandes familles qui réussissent sont en majorité protestants, grâce à l’éducation et l’érudition encouragée par le culte protestant et nécessaire à sa bonne pratique, les Desgenétais, des catholiques, s’imposent économiquement. Ce pouvoir économique et social leur confère aussi un outil afin de promouvoir le culte catholique dans la région.

En 1872, Auguste Desgenétais fait aménager dans un de ses bâtiments une école dans le quartier de Fontaine à Bolbec, qui en était alors totalement dépourvu. Elle ouvre ses portes la même année sous le nom de : « L’école de la Vallée Fontaine ». Deux ans plus tard elle devient une école communale de garçons. Elle reste une école catholique. Après son décès, l’école sera renommée : Ecole Auguste Desgenétais en sa mémoire. En 1886, l’école se dote de nouveau locaux afin de pouvoir accueillir l’école des filles. Elle fermera définitivement en 2012.

Son épouse Joséphine Marie Inès Célestine Collet est une fervente catholique et œuvre directement pour la visibilité du culte catholique dans la région. En effet, elle finance la construction d’un nouveau presbytère à Lillebonne, dans l’église Notre Dame dont 3 000 francs sur 4 115 francs pour l’édification de l’autel. Elle finança également la construction d’une nouvelle école à Lillebonne en 1889.

Elle finance en majeure partie la nouvelle église de Gruchet « réédifiée en 1894 -1896 grâce aux « largesses » des familles Desgenétais et Piérard ».

Desgenétais de Gruchet : de l’industrie à la mairie

a)     Généalogie d’une lignée gruchetaine

La lignée gruchetaine de la famille commence par Henri Auguste Desgenétais (1821-1882) qui épouse au Havre (canton nord, c’est-à-dire à Ingouville) en 1853[5] Joséphine Marie Inès Célestine Collet D’Alençon, née le 21 avril 1836 dans la Meuse. Il a alors 32 ans, elle 17 ans.  Elle décède en son domicile parisien du 9e arrondissement, au numéro 20 de la rue d’Athènes le 28 avril 1876[6]. Ensemble ils ont trois enfants.

L’aîné, Marie Jean Jacques Henri Desgenétais est né le 14 juin 1856[7] à Gruchet-le Valasse, il décède en 1891[8], marié mais sans postérité à l’âge de 35 ans.

Le 24 mars 1858[9] est née Marie Emika Jeanne Inès Desgenétais. Elle épouse à Paris le 25 avril 1877 le baron André Piérard[10]. Elle serait décédée en 1919 à Gruchet-le-Valasse. Ils ont deux filles.

Le troisième enfant est Louis Joseph Auguste Desgenétais, né le 16 mars 1865[11] et décède le 27 décembre 1906[12] peu de temps après le mariage de sa fille. Il épouse en 1887 à Paris Anne Elisabeth Haincq de Saint-Senoch (1864-1900). Ensemble ils ont deux filles. Elle décède deux mois après la naissance de leur dernière fille le 9 septembre 1900[13].

Henriette Marie Augustine Piérard née le 12 juillet 1882[14], au château des Genêts à Gruchet-le-Valasse, fille de Marie Emika Jeanne Inès Desgenétais et le baron André Piérard épouse, le 15 novembre 1910[15], Léon Bacharie Joseph Gernez né le 15 mars 1875 à Cambrai, désigné à Gruchet-le-Valasse comme le « Docteur Gernez ». Il décède le 27 janvier 1937, au 26 boulevard Victor Hugo à Neuilly-sur-Seine. Domicilié au château de Tous Vents à Gruchet-le-Valasse[16]. Henriette Marie Augustine Gernez, née Piérard, décède le 4 décembre 1956, en son domicile rue du Pilori[17].

La date de naissance de la seconde fille du baron Piérard et de Marie Emika Jeanne Inès Desgenétais est inconnue. On sait uniquement qu’elle est décédée le 20 août 1904 à l’âge de 24 ans. Il n’y a aucune information dans les registres de Gruchet-le-Valasse. De son union avec André Laboulaye (date du mariage inconnue), seraient nés un fils : Paul de Laboulaye (1902-1961) et une fille Monique de Laboulaye (1903-1919).

Louis Joseph Auguste Desgenétais et Anne Elisabeth Hainq de Saint-Senoch ont deux filles. Chose inhabituelle, nous allons d’abord parler de la seconde : Agnès Marie Louise Elisabeth Desgenétais. Elle est née le 20 juillet 1900 au château des Genêts[18]. Elle serait morte en bas âge mais aucun acte ne correspond.

Louise Anne Marguerite Marie Desgenétais est née le 4 mai 1888[19] au château des Genêts. Elle épouse le 14 novembre 1906 Paul Bertrand Marie Gaston comte de Castelbajac. Ils vivent ensemble au château d’Etelan (Saint-Maurice-d’Etelan). Ensemble ils ont cinq enfants : Louis Auguste Marie Gaston de Castelbajac né à Paris dans le 17e arrondissement au 17 rue de Demours en 1908[20] et décède à Alger en 1964, il s’est marié deux fois ; un enfant mort-né de sexe masculin le 2 mars 1911[21] ; Marie-Agnès Anne Pierrette de Castelbajac, née à Paris dans le 17e arrondissement le 25 avril 1912[22] et serait décédée à Nice en 1975 ; Arnaud René Marie Bernard de Castelbajac né en 1913 à Saint-Maurice d’Etelan et serait décédé en 1986 ; Marie-France de Castelbajac née le 27 janvier 1917[23] à Paris dans le 17e arrondissement et serait décédée en novembre 2000 à Neuilly-sur-Seine. Elle a épousé le 28 octobre 1935 à Notre-Dame de Gravenchon Georges Adolphe Maury (acte n°2212).

Arbre généalogique de la Famille Desgenétais de Gruchet-le-Valasse.

Quatre générations de Desgenétais se succèdent à Gruchet. Leur entreprise prospère.

b)     Cinquante-cinq ans de mandats : ils ont façonné Gruchet.

Les Desgenétais se lancent dans la politique et s’impliquent dans les communes dans lesquelles ils ont implanté leurs usines. En ce qui concerne Gruchet-le-Valasse, la famille Desgenétais et tous les membres par alliances couvriront près de 65 ans de mandats de maire.

En effet, Henri Auguste Desgenétais est maire de Gruchet-le-Valasse de 1848 à 1856. Son gendre le Baron André Piérard occupe cette position entre 1886 et 1898. Louis Auguste Desgenétais, le propre fils d’Henri Auguste Desgenétais, prend la suite de son beau-frère et est élu maire, après avoir été conseillé, de 1899 à 1906.

Le gendre de Louis Auguste Desgenétais : Gaston comte de Castelbajac est maire de 1908 à 1919 et brigue un second mandat de 1921 à 1925. À la suite de cela, la mairie reste, si on peut dire, dans la famille, car c’est le Docteur Léon Gernez, l’époux d’Henriette Marie Augustine Piérard, la fille du baron Piérard, qui est élu en 1925. Il occupe cette fonction jusqu’à son décès en 1937. Après la Seconde guerre mondiale, Henriette Marie Augustine Piérard est élue maire. Elle occupe cette fonction de 1945 à 1956.

Si on prend en compte la totalité des mandats occupés par les membres de la famille Desgenétais et de ses membres par alliances, on obtient plus de cinquante-cinq années passées en tant que maire de la commune.

Une mention spéciale à Henriette Marie Augustine Piérard, épouse Gernez. Trop longtemps désignée comme fille du baron Piérard ou comme la « Veuve Gernez », qui était Henriette Piérard ? Nous allons porter l’attention sur son existence de femme car dans le caveau des Gernez, les deux défunts sont aussi importants l’un que l’autre.

Henriette Piérard est infirmière major pendant la Première guerre à l’hôpital auxiliaire de Bolbec. Ensuite, elle est déléguée au Comité Central de la Seine-Inférieure de la Croix-Rouge. En 1939, elle est la vice-présidente du conseil des Dames de la Croix-Rouge de Rouen[24]. « Décorée de la Médaille de la Reconnaissance Française, officier d’Académie, chevalier du Mérite Social, elle fut nommée chevalier de la Légion d’Honneur en septembre 1954 »[25].

c)     La chapelle funéraire

Cette famille a donc marqué l’histoire de la région par ses nombreuses industries, qui ont fourni des emplois et participé à ce que l’on appelle alors La Vallée d’Or. Mais elle a aussi allié économie et pouvoir politique. Ce qui se traduit par une grande considération des habitants de la ville.

Encore aujourd’hui à Gruchet-le-Valasse qui n’a jamais entendu parler du château des Genêts ou de Tous-Vents ? L’église de la ville elle-même est une création made in Desgenétais alors comment ne pas remarquer leur chapelle funéraire, église miniature, reprenant les codes du gothique.

La Chapelle funéraire de la famille Desgenétais

Cette chapelle monumentale est le fleuron des beautés funéraires du cimetière de Gruchet-le-Valasse. En effet, de loin la plus imposante et la plus remarquable. Elle est originale par sa superficie, bien plus grande que celles des familles Levaltier et Levasseur.

La mairie de Gruchet-le-Valasse a conservé un exemplaire de la concession de terrain acquise par la famille. Cet achat date du 24 juin 1881 concédé à Monsieur Auguste Desgenétais « conseiller général et manufacturier demeurant en son château des Genêts ». La concession donne l’emplacement exact de la sépulture (« au sud de la chapelle Saint-Joseph »). C’est une concession à perpétuité, c’est-à-dire qu’elle est supposée demeurer en cet endroit pour toujours : « cette concession est faite à perpétuité à partir de ce jour et à la charge de M. Desgenétais. Il est indiqué sur le document que Auguste Desgenétais verse la somme de 1 800 francs à la caisse communale pour l’enregistrement et 900 francs « à la caisse du bureau de Bienfaisance ». Des sommes considérables qui montrent l’importance de la richesse de la famille.

Grâce aux différents schémas de la concession, on prend conscience de l’immensité du terrain et donc de l’espace disponible pour édifier une sépulture sans comparaison dans la commune de Gruchet-le-Valasse. Le terrain présente des dimensions conséquentes mais une forme imparfaite. En effet, si sa longueur est de 6m90, la largeur varie entre 5m et 4m86 / 90. La chapelle occupe 4m de large sur 4m50 de long.

Esthétiquement en harmonie avec la chapelle Saint-Joseph, sans surprise puisque celle-ci fût en majeure partie financée par la famille. Dans une imitation du style gothique.

La chapelle funéraire dispose de son propre porche agrémenté de ciselure géométrique, et de colonnes. À l’intérieur, un vitrail, qui n’existe plus aujourd’hui, surplombe l’autel.  Des croix surplombent le monument funéraire. Elles sont agrémentées de couronne de fleurs.

Pourquoi faire construire un tel édifice ? Le faste funéraire est le témoin de la puissance économique et sociale de la famille. Par cette richesse affichée les membres de la famille revendiquent leur importance dans la commune de leur vivant et dans l’au-delà.

Si la chapelle est gigantesque au milieu des autres sépultures du cimetière, qui repose en son sein ? La totalité des membres de la famille de la fin du XIXe siècle ? Sous le porche de la chapellen, quelques indices sont égrainés. On peut lire diverses inscriptions : « Comtesse de Castelbajac, née Desgenétais. 11 Mai 1888. 21 novembre 1935 » qui est Louise Anne Marguerite Desgenétais. Ainsi que « Baronne André Piérard, née Ines Desgenétais. 24 mars 1858. 21 mars 1919 » qui est Marie Emika Jeanne Inès Desgenétais.

De plus, dans une note de la concession on trouve écrit :

Cette note comporte plusieurs erreurs et/ou inexactitude. En effet, Joséphine Marie Inès Célestine Collet d’Alençon est décédée en 1876.

De plus, il faut préciser que celle désignée comme étant : Mme Veuve Auguste Desgenétais est en réalité Anne Elisabeth Haincq de Saint-Senoch l’épouse de Louis Joseph Auguste Desgenétais. Elle est décédée en 1900 et non pas en 1896. En plus de la note de la concession et de l’acte de décès confirmant la date, nous disposons d’un article du Journal de Bolbec dans lequel est relaté l’enterrement de Mme Louis Desgenétais, daté du 16 septembre 1900 et titré « Les obsèques de Madame Louis Desgenétais ».

« Pas de fleurs, pas de couronne, sur les tentures noires le monogramme de la famille ; de chaque côté des draperies du cercueil, les armes des Saint-Senoch, et sur l’avant, la photographie très ressemblante de Madame Louis Desgenétais »

L’article donne également le nom des membres de la famille qui reposent déjà dans le caveau mais ces informations comportent trop de fautes qu’il n’est pas pertinent de relever.

Pour résumer, à notre connaissance six membres de la famille Desgenétais reposent dans la chapelle funéraire de Gruchet-le-Valasse. Il s’agit de : Joséphine marie Inès Célestine Collet d’Alençon (1836-1876) ; Henri Auguste Desgenétais (1821-1882) ; Marie Jean Jacques Henri Desgenétais (1856-1891) ; Anne Elisabeth Haincque de Saint-Senoch (1864-1900) ; Marie Emika Jeanne Inès Desgenétais (1858- 1919) ; Louise Anne Marguerite Desgenétais (1888-1935).

[1] Archives départementales de la Seine Maritime, Archives municipale de Saint-Laurent-de-Brèvedent, Registre état civil, année 1810, acte non numéroté.

[2] Archives départementales de la Seine Maritime, Archives municipale de Saint-Laurent-de-Brèvedent, Registre état civil, année 1821, acte n°40.

[3] Archives départementales de la Seine Maritime, Archives municipale de Bolbec, Registre état civil, année 1862, acte n°49.

[4] Archives communales de Gruchet-le-Valasse, Registre d’Etat-civil, année 1831.

[5] Archives départementales de la Seine Maritime, Archives municipale Ingouville, Registre d’état civil, année 1853, acte n°213.

[6] Archives départementale de la ville de Paris, Registre d’état-civil du 9e arrondissement, année 1876, acte n°526.

[7] Archives municipales de Gruchet-le-Valasse, Table décennale, 1792-1883.

[8] Idem.

[9] Archives municipales de Gruchet-le-Valasse, Registre d’état-civil, année 1858, acte n°26.

[10] Archives départementale de la ville de Paris, Registre d’état-civil du 9e arrondissement, année 1877, acte n°386.

[11] Archives municipales de Gruchet-le-Valasse, Table décennale, 1792-1883.

[12] Archives municipales de Gruchet-le-Valasse, Registre d’état-civil, année 1906, acte n°88.

[13] Archives municipales de Gruchet-le-Valasse, Registre d’état-civil, année 1900, acte n°88.

[14] Archives municipales de Gruchet-le-Valasse, Registre d’état-civil, année 1882, acte n°

[15] Archives communales de Gruchet-le-Valasse, Registre d’état civil, année 1956, acte n°111.

[16] Archives communales de Gruchet-le-Valasse, Registre d’état civil, année 1937, acte n°9.

[17] Archives communales de Gruchet-le-Valasse, Registre d’état civil, année 1956, acte n°111.

[18] Archives communales de Gruchet-le-Valasse, Registre d’état civil, année 1900, acte n°74.

[19] Archives communales de Gruchet-le-Valasse, Registre d’état civil, année 1888, pas de numéro d’acte.

[20] Archives départementale de la ville de Paris, Registre d’état-civil du 17e arrondissement, année 1908, acte n°2252.

[21] Archives communales de Gruchet-le-Valasse, Registre d’état civil, année 1911, acte n°19.

[22] Archives départementale de la ville de Paris, Table décennale.

[23] Archives départementale de la ville de Paris, Registre d’état-civil du 17e arrondissement, année 1917, acte n°133.

[24] Société d’étude et de recherches du pays des Calete, Collectif d’auteurs, Gruchet-le-Valasse, Centenaire des bâtiments de l’hôtel de ville 1891 – 1991, Les Mairies et la maison d’enfant, p. 45.

[25] Idem, p.46.

Anaïs SANSON avec la participation d’Alain AVENEL, Historien.